L’instant a surpris même les habitués des cérémonies automobiles : lorsque le trophée de la Sportive de l’Année a été remis à la Peugeot e-208 GTi, l’assemblée a compris qu’un virage symbolique venait d’être franchi. Non pas un adieu au thermique, mais l’officialisation d’une nouvelle ère où l’icône GTi s’épanouit désormais sous tension électrique.
Au Grand Prix Auto Moto 2025, la petite lionne n’a pas seulement remporté un prix — elle a ravivé un mythe. La rédaction du magazine, référence depuis plus de quatre décennies, a salué la manière dont Peugeot réussit à conjuguer tradition GTi et innovation électrifiée. Une équation délicate, que la marque assume avec une sobriété sportive : silhouette abaissée, voies élargies, jantes de 18 pouces ajourées, détails rouges subtilement disséminés… autant de clins d’œil aux GTi d’hier, réinterprétés avec finesse.
Dans la coulisse technique, la filiation est tout aussi affirmée. Sous la carrosserie nerveuse, un moteur électrique de 280 ch et 345 Nm propulse la citadine de 0 à 100 km/h en 5,7 secondes, la plaçant largement en tête des performances du segment B. Les ingénieurs de Peugeot Sport ont puisé dans le savoir-faire acquis en endurance, notamment en gestion thermique et récupération d’énergie, pour offrir un tempérament explosif sans sacrifier la polyvalence. L’autonomie annoncée de 350 km confirme sa capacité à assumer une utilisation quotidienne.
Sur route, le comportement se rapproche encore davantage de l’esprit GTi originel. Pneus Michelin Pilot Sport Cup 2, différentiel à glissement limité intégré au réducteur, direction affûtée, sensations amplifiées par le volant compact du i-Cockpit : la voiture n’a pas seulement été pensée pour aller vite, mais pour procurer une connexion directe avec le conducteur, comme ses ancêtres.
Sans grandiloquence, la e-208 GTi s’impose déjà comme une nouvelle référence pour les amateurs de petites sportives. Elle ne cherche pas à copier le passé ; elle le prolonge. Et c’est précisément ce qui a séduit le jury : une sportive électrique qui redonne du sens au plaisir de conduire, tout en assumant avec modernité l’héritage d’un badge culte.
L’instant a surpris même les habitués des cérémonies automobiles : lorsque le trophée de la Sportive de l’Année a été remis à la Peugeot e-208 GTi, l’assemblée a compris qu’un virage symbolique venait d’être franchi. Non pas un adieu au thermique, mais l’officialisation d’une nouvelle ère où l’icône GTi s’épanouit désormais sous tension électrique.
Au Grand Prix Auto Moto 2025, la petite lionne n’a pas seulement remporté un prix — elle a ravivé un mythe. La rédaction du magazine, référence depuis plus de quatre décennies, a salué la manière dont Peugeot réussit à conjuguer tradition GTi et innovation électrifiée. Une équation délicate, que la marque assume avec une sobriété sportive : silhouette abaissée, voies élargies, jantes de 18 pouces ajourées, détails rouges subtilement disséminés… autant de clins d’œil aux GTi d’hier, réinterprétés avec finesse.
Dans la coulisse technique, la filiation est tout aussi affirmée. Sous la carrosserie nerveuse, un moteur électrique de 280 ch et 345 Nm propulse la citadine de 0 à 100 km/h en 5,7 secondes, la plaçant largement en tête des performances du segment B. Les ingénieurs de Peugeot Sport ont puisé dans le savoir-faire acquis en endurance, notamment en gestion thermique et récupération d’énergie, pour offrir un tempérament explosif sans sacrifier la polyvalence. L’autonomie annoncée de 350 km confirme sa capacité à assumer une utilisation quotidienne.
Sur route, le comportement se rapproche encore davantage de l’esprit GTi originel. Pneus Michelin Pilot Sport Cup 2, différentiel à glissement limité intégré au réducteur, direction affûtée, sensations amplifiées par le volant compact du i-Cockpit : la voiture n’a pas seulement été pensée pour aller vite, mais pour procurer une connexion directe avec le conducteur, comme ses ancêtres.
Sans grandiloquence, la e-208 GTi s’impose déjà comme une nouvelle référence pour les amateurs de petites sportives. Elle ne cherche pas à copier le passé ; elle le prolonge. Et c’est précisément ce qui a séduit le jury : une sportive électrique qui redonne du sens au plaisir de conduire, tout en assumant avec modernité l’héritage d’un badge culte.
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