Les travaux de la sixième édition de l’African Digital Summit, organisée par le Groupement des Annonceurs du Maroc (GAM), ont débuté mardi à Casablanca. Placé sous le haut patronage du roi Mohammed VI, cet événement majeur vise à rassembler les acteurs du secteur digital à travers l’Afrique et à explorer les opportunités ainsi que les défis liés à l’intégration de l’intelligence artificielle.
Dans un contexte de mutations rapides, où l’intelligence artificielle offre à la fois des perspectives prometteuses et des enjeux, notamment en matière d’énergie et de gestion des talents, le sommet se présente comme une plateforme essentielle pour réfléchir à l’avenir numérique du continent. Depuis sa création en 2014, l’African Digital Summit est devenu un espace d’échange et de networking, rassemblant marques, annonceurs et startups pour découvrir les dernières tendances digitales.
Une attention particulière est portée aux startups, qui jouent un rôle clé dans l’événement. Cela leur permet d’interagir avec des décideurs marocains et internationaux, favorisant ainsi l’innovation et la mise en relation entre l’offre et la demande. Cette édition s’affirme également comme un catalyseur de transformation numérique pour l’Afrique, proposant de nouvelles stratégies digitales pour l’avenir du continent.
S’étendant sur deux jours, le sommet offre un programme varié abordant des enjeux cruciaux du numérique. Les participants peuvent participer à des conférences plénières et des sessions interactives, animées par des experts, sur des thèmes tels que l’impact de l’intelligence artificielle sur le marketing digital, les tendances technologiques émergentes, ainsi que les défis et opportunités de la transformation numérique.
Des discussions approfondies sur l’infrastructure énergétique, la gestion des talents et l’innovation dans l’écosystème digital africain sont également prévues. L’événement mettra en lumière des solutions innovantes à travers des présentations et des démonstrations pratiques, tout en offrant des espaces de dialogue pour renforcer les relations entre les différents acteurs du numérique sur le continent africain.
